L’épidémie provoquée par le virus Ebola ne devrait avoir qu’un impact limité sur la croissance de l’Afrique, qui est le continent le plus dynamique après l’Asie. Les conséquences économiques directes devraient être circonscrites aux pays directement touchés et aux régions voisines. Le plus grand risque est le retour de "l’afro-pessimisme", estime Emanuele Santi, dans un commentaire pour...