Face à la montée du radicalisme islamiste au Moyen-Orient, les gouvernements occidentaux, et en premier lieu les Etats-Unis, doivent expliquer à des opinions publiques fatiguées qu’une intervention modérée vaut mieux que l’inaction, explique Hassan Mneimneh, dans un commentaire pour le German Marshall Fund.
All eyes were on Gaza when the recently self-proclaimed “Caliph” at the helm of the...