Née sous la République islamique, la génération qui manifeste aujourd’hui semble très différente de celle qui l’a précédée. Mais ce qui les différencie, paradoxalement, c’est leur complicité : les jeunes Iraniens d’aujourd’hui, contrairement à ceux qui les ont précédés, ont le soutien de leurs parents. La sociologue et politiste Mahnaz Shirali analyse, pour le site Telos, la révolte qui secoue...