Entre les russophiles, qui, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, trouvent des attraits à la Russie d’aujourd’hui, et les russophobes, qui demandent une ligne de fermeté croissante à l’égard de Moscou, les forces politiques se divisent sur la « politique russe » de la France et sur celle de l’Union européenne. Cyrille Bret, maître de conférences à Sciences-Po, appelle à une position médiane, «...