Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, avait laissé entendre qu’il faudrait bien un jour négocier avec Bachar el-Assad, alors que son départ du pouvoir était jusqu’à maintenant considéré par la diplomatie américaine et la diplomatie française comme un préalable à toute solution politique. Ce qui apparaissait comme un tournant dans la position des Etats-Unis a été relativisé, quelques jours...