Longtemps attendue, la signature du président tchèque, Vaclav Klaus, du traité de Lisbonne, mardi 3 novembre, a levé un obstacle décisif à la réalisation de la nouvelle architecture européenne.
Les hésitations tchèques n’étaient pas l’unique obstacle. Le très eurosceptique David Cameron, chef du Parti conservateur britannique, les Tories, après avoir multiplié les manœuvres dilatoires pour...