Marc Lazar, grand connaisseur de l’Italie, n’a pas été convaincu par la thèse de Laurence Morel. Il la juge "trop irénique, idéaliste et optimiste". Pour lui, les partis de la droite et de l’extrême droite se maintiennent et vont même trouver, dans la gestion de la crise sanitaire, de nouveaux arguments contre l’Europe.
Laurence Morel vient de publier sur Telos un article fort intéressant...