Assurément, l’accord signé entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (le « Brexitmas »), le 24 décembre 2020, constitue une bonne chose. Un « no deal » eût provoqué d’importants dommages. Nulle raison de se gargariser cependant : l’Europe dans son intégralité, archipel britannique inclus, sort diminuée de cette longue épreuve. Surtout, l’économie et le commerce n’ont que trop occulté la haute...