L’élection de Pierre Karl Péladeau à la tête du Parti québécois redonne espoir à ceux qui continuent de plaider, après deux échecs, pour la rupture de la Belle Province avec le reste du Canada. Nouveau venu sur la scène politique, celui que l’on surnomme « PKP », flamboyant patron de presse et souverainiste affirmé, veut « faire du Québec un pays », même si l’aspiration à l’indépendance est...