Un espace politique s’ouvre aujourd’hui pour que l’Europe puisse donner la pleine mesure de son « soft power », en mobilisant les ressources d’une culture entendue dans une acception large, qui embrasse, au-delà du répertoire du patrimoine et de la création, tout le champ des savoirs, des idées, du débat et de l’éducation. Cette réflexion de Pierre Buhler, diplomate, président de l’Institut...